Le glanage est une pratique ancienne qui remonte depuis le moyen âge qui consiste à récolter les restes de la récolte qui ne sont ramassés par les agriculteur après leurs moissons. Historiquement, le glanage était souvent considéré comme un droit pour les plus pauvres pour avoir des ressources alimentaires. Dans certaines culture, le glanage est associé sous une forme de solidarité et de partage. des produits agricoles dans les champs laissés qui reste à disposition aux personnes dans le besoin. Le premier texte pour encadre cette activité date du 2 Novembre 1554 par le roi Henri II encore en vigueur de nos jours. Cette coutume est ancrée sur le territoire français
Le glanage est le sujet d’oeuvres artistique, comme du tableau « Les Glaneuses » en 1857 de Jean-François Millet exposé au Musée d’Orsay:
Ainsi de l’oeuvre « Le rappel des Glaneuses » en 1859 de Jules Breton:
Les agriculteur sont favorable à faire perdurer cette pratique car cela permet de nettoyer les champs et d’éviter que les produits pourrissent pour aussi lutter contre le gaspillage.
Les conditions autorisées principales consiste :
L’activité ne peut que se faire après la récolte de l’agriculteur.
Glaner pendant le jour au vu de tous..
S’effectue uniquement à la main.
Dans un champs ouvert.
D’une quantité raisonnable.
L’autorisation du propriétaire.
Les conditions d’interdictions:
Sur des terrains clôturés.
Le maraudage, qui est un vol de produits qui ne sont pas détachés de la terre.
Le grappillage, qui est de récupérer après la récolte des produits encore sur les arbres fruitiers qui pourrait constituer une seconde récolte.
Le râtelage, qui demande l’utilisation d’outils.
II existe des arrêtés municipaux, dont qu’il faudrait demander à la mairie. Souvent les arrêtés sont souvent annules pour cause de la lutte contre le gaspillage alimentaire.
Les associations anti-gaspi:
De nombreuses actions associatif de glanage et ant-gaspi existe pour cette cause, grâce aux bénévole. Qui offre aussi un contact avec les producteur avec l’avantage d’un circuit court. Qui est également l’occasion de renouer avec la nature et un retour aux source d’origine.
La tentes des glaneurs, qui récupère les invendus en fins de marchés pour le redistribuer après que les marchés sois terminer pour ne pas faire de la concurrence.
Les retorqués, une conserverie luttant contre le gaspillage proposant des animations, des ateliers de fabrication de conserve et de cuisine anti-gaspi.
Zero déchet, pour de la sensibilisation et informations, des projets pour des mode de vie zéro déchet
Solaal, qui organise des glanages solidaire récoltés par des bénévoles pour les offrir aux associations d’aide alimentaire avec l’accord du propriétaire.
J’aime Boc’oh, pour des conserve pour fruits et légumes disqualifiés en proposant des confiture, des tartinades, des pickles et produit lacto-fermentés à partir des invendus des supermarchés et surplus des producteurs.
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Tant qu’il y aura du gaspillage alimentaire, il y aura des associations pour contrer la lutte. Il en existe beaucoup sur tout le territoire. Il n’y a pas que les plus démunies qui peuvent en bénéficier.